-> Apprendre à écouter son corps et ses sensations pour mieux reconnaître les signaux de faim, de satiété et de plaisir
-> Limiter les comportements alimentaires compulsifs
-> Identifier les habitudes ou croyances limitantes qui vous poussent à manger de manière excessive
-> Mieux gérer le stress et l’anxiété
-> Améliorer la digestion en apprenant des techniques de respiration
-> Déculpabiliser en développant une attitude bienveillante envers vous-même et en vous autorisant à vous octroyer des écarts
-> Renforcer l ‘estime de soi
-> Apprendre à savourer en pleine conscience et retrouver le plaisir des sens avec la technique de sophro-dégustation
-> Trouver ou retrouver un poids de forme, celui avec lequel on se sent bien
La sophrologie va permettre de se reconnecter à soi, à ses sensations et se réconcilier avec son corps.
-> Apprendre à être moins dans le contrôle, renouer avec ses sens, avec le plaisir de se nourrir.
-> Porter un regard bienveillant sur soi et sur son corps, restaurer peu à peu l’image de soi et développer l’ estime de soi .
Dans le cas de la boulimie, les crises entraînent souvent honte et culpabilité. Le travail sur les émotions en sophrologie va permettre une prise de recul. Des techniques « d’urgence » vont permettre de diminuer l’impulsivité et diminuer l’intensité des crises.
La sophrologie vient ici en soutien au suivi médical.
Ils sont très variables en nature et en intensité selon les enfants :
la sophrologie va s’intégrer au sein d’un réseau pluridisciplinaire (médecin, pédiatre, orthophoniste, ergothérapeute, psychomotricien…). Le travail sophrologique va s’orienter sur la diminution de l’anxiété, le travail sur les sens ( goût, l’odorat, la vue et le toucher), le renforcement de l’estime de soi et les blocages psychologiques.